Protéger notre identité et notre modèle républicain

Nous subissons une crise identitaire grave qui amène certains de nos concitoyens et certaines de nos concitoyennes à s’enfermer dans un schéma de nature communautariste.

Par ailleurs, nous accueillons sur notre territoire de nombreuses personnes venues y trouver refuge. Ceux-ci viennent avec une culture qui n’est pas la nôtre voire, parfois, parfaitement incompatible notamment concernant le respect des femmes.

De fait, notre modèle culturel républicain se trouve fragilisé. Cela est perceptible à tous les niveaux, à l’échelon communal et de proximité plus encore.

Nous ne remettons évidemment pas en cause l’universalité de notre modèle républicain et la reconnaissance et le respect de chacun et chacune dans ses différences. Nous assumons haut et fort notre tradition républicaine d’accueil des personnes dans le désarroi (guerres, menaces physiques et morales, exodes climatiques…). Nous savons que certains souhaiteraient profiter de ces fragilités pour remettre en cause notre modèle républicain. Nous combattrons toute forme de mise en œuvre de ce qu’ils appellent la « préférence nationale » De fait, en conscience, nous souhaitons renforcer à l’échelle municipale un certain nombre de nos grands principes tel que l’égalité, particulièrement entre les hommes et les femmes et le principe de laïcité.

  • Nous assurerons la formation de tous les agents en lien avec les populations sur ces deux thématiques essentielles pour préserver notre contrat social.
  • Nous formerons les ATSEM, les animateurs, les éducateurs, les personnels de la petite enfance, les agents d’accueil, les travailleurs sociaux et les policiers municipaux. Par ailleurs, au regard des risques de radicalisation, de toutes les formes de radicalisation, nous mettrons en place des agents de vigilance qui pourront être consultés par leurs collègues en cas de doute concernant un comportement suspect. Ceux-ci bénéficieront d’une formation spécifique.
    Pour répondre à la problématique de l’accompagnement des sorties scolaires par des parents bénévoles et la responsabilité qui pèse sur les épaules des enseignants d’évaluer l’éventuel degré de prosélytisme d’un parent encadrant, nous mettrons à disposition des directeurs d’écoles des animateurs professionnels tenus à la neutralité dans le cadre de l’exercice de leur fonction publique.
  • Afin de ne pas obliger les parents à indiquer la nature de la viande que l’enfant pourrait consommer lors du repas à la restauration scolaire, ceci constituant « en creux » une discrimination, nous proposerons de manière systématique, des repas végétariens aux qualités nutritionnels identiques à celles de la viande. Les enfants auront le choix entre des repas carnés ou des repas végétariens.

Ce choix ne stigmatisera, de fait, aucun enfant et les amènera tous à consommer moins de viande, ce qui constitue de fait un progrès dans le cadre de la protection de l’environnement.

Nathalie

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